L’agriculture biologique stocke davantage de carbone atmosphérique dans la matière organique du sol, contribuant ainsi à amoindrir le changement climatique. Telle est la conclusion à laquelle arrive un groupe d’experts internationaux du climat. Placé sous la direction de l’Institut de recherche de l’agriculture biologique (FiBL), ce groupe a, pour la première fois, mis en valeur les données de 74 études comparatives faites dans le monde entier. Ces études avaient mesuré le carbone organique dans l’humus des sols cultivés en bio et en conventionnel.