Le nouveau programme stratégique de recherche et d’innovation (SRIA : Strategic Research and Innovation Agenda) de TP Organics, intitulé « Vision pour la recherche future en matière d’agriculture biologique et agroécologique : triple approche pour des systèmes alimentaires durables », a été lancé, le 4 novembre, lors des Organic Innovation Days à Bruxelles.

Après le succès de la Grande Consultation des Agriculteurs qui a recueilli près de 8000 contributions, The Shift Project et Les Shifters lancent “Agri2050” : un réseau apartisan et asyndical d’agricultrices et d’agriculteurs, créé pour favoriser les échanges autour de la transition agricole. Ce réseau Agri2050, matérialisé par une communauté Whatsapp dédiée, vise à offrir un espace aux agricultrices et agriculteurs pour partager, débattre et se rencontrer.

Le 10 novembre, les négociateurs du Parlement et du Conseil ont trouvé un accord provisoire pour simplifier les exigences de la politique agricole commune (PAC).

Deux tables rondes sur la filière cacao ont été organisées par l’ONG Agronomes & Vétérinaires Sans Frontières et la SCOP Ethiquable, le 30 octobre, sur le salon du chocolat.

L’édition 2025 du salon Tech&Bio a réuni 21 000 visiteurs et 320 exposants, et a proposé 70 conférences, ainsi que des ateliers et démonstrations.

En août 2025, le nombre de livreurs de lait bio a reculé de 6 % sur un an. Ce déclin s’explique surtout par le faible écart de prix entre lait bio et lait conventionnel, insuffisant pour couvrir les coûts de production plus élevés en bio. Le Cniel anticipe une nouvelle accélération des cessations d’activité : près de 160 arrêts sont prévus d’ici juin 2026, soit trois fois plus qu’en 2024, touchant principalement des fermes de grande taille. Les déconversions devraient représenter près de 80% des arrêts, contre la moitié en 2023 et 2024. En conséquence, l’offre

A l’occasion de la Journée mondiale des toilettes le 19 novembre, la Fédération Nationale de l’Agriculture Biologique (FNAB) et le Réseau de l’Assainissement Écologique (RAE) rappellent le formidable potentiel de nos excrétas : une ressource naturelle riche en nutriments, capable de nourrir les sols et d’alimenter le développement d’une agriculture biologique, locale et résiliente. Des expérimentations sont déjà en cours (maraîcher bio et AMAP francilienne ; service local de collecte d’urine, dans la Drôme ; entreprise Ehotil, à Marseille, qui produit un engrais à

Alors que le cuivre est la molécule naturelle la plus répandue dans la lutte contre le mildiou, les viticulteurs se retrouvent en grande difficulté pour protéger leurs cultures. Cet été, plusieurs produits cupriques ont, en effet, été retirés du marché français, les fabricants n’ayant pas fourni les études attendues par l’ANSES. Seuls deux produits ont été ré-autorisés avec des conditions d’usages qui ne correspondent pas aux besoins du terrain, laissant les viticulteurs dans une véritable impasse technique. La FNAB et la CNAOC demandent que les pouvoirs publics, les

La FNAB se réjouit de la hausse et de la prolongation du crédit d’impôt bio jusqu’en 2028 et de l’augmentation de l’enveloppe, votées par l’Assemblée Nationale le 14 novembre. Dans les prochaines semaines, le Sénat se prononcera à son tour sur cette hausse et la prolongation du crédit d’impôt bio et sur le montant de l’enveloppe, ainsi que sur le financement de différents leviers indispensables au développement de l’agriculture biologique. La FNAB appelle les sénateurs et sénatrices à voter cette disposition pour le crédit d’impôt.

En 2023, 9,7 millions de tonnes de déchets alimentaires, soit 142 kg par habitant, ont été produites, en France, sur l’ensemble de la chaîne alimentaire. Parmi ces déchets, 5,9 millions de tonnes sont considérées comme non comestibles (os, épluchures, etc.). Les autres déchets s’apparentent au gaspillage alimentaire. Ils représentent 3,8 millions de tonnes, soit près de 40 % des déchets alimentaires totaux.