En juin 2009, l’association Générations Futures et Jacques Maret, agriculteur en Charente-Maritime, demandaient au ministre de l’agriculture l’abrogation de l’autorisation de mise sur le marché de trois formulations de désherbant Round Up (Express, Extra 360 et GT Plus). Leur requête reposait sur le fait que certaines substances entrant dans la composition de ces produits n’ont pas été analysées en tant que « substances actives » lors de l’évaluation de la toxicité de ces formules commercialisées par Monsanto.