Mercredi 4 octobre 2017, le Parlement européen a opposé son véto à la définition des perturbateurs endocriniens de la Commission européenne qui exemptait certains de ces perturbateurs endocriniens.
Le 28 septembre dernier, la Commission environnement et santé publique avait déjà approuvé cette objection et appelait les eurodéputés à opposer leur véto.
La Commission va donc devoir rédiger une nouvelle version du texte, « en prenant en compte la contribution du Parlement », précise le bureau français d’information du Parlement européen.