Une nouvelle étude met en garde le public sur le fait que la pratique de l’éco-étiquetage pourrait être sur le point d’atteindre son seuil de saturation et qu’elle est en train de devenir aussi déroutante pour les entreprises que pour les consommateurs.
Réalisée par l’International Institute for Management Development (IMD) en collaboration avec l’Ecole Polytechnique de Lausane (EPFL) cette étude conjointe suggère que le processus est devenu tellement fragmenté que la perception actuelle de l’industrie est dominée par une attitude de réévaluation.
Aujourd’hui, plus de 400 écolabels sont utilisés à travers 25 secteurs, suscitant des préoccupations de plus en plus grandes concernant leur prolifération, leur crédibilité et la compréhension des consommateurs. Les chercheurs de l’IMD et de l’EPFL ont interrogé plus de 1 000 cadres dans le monde entier sur leurs attitudes envers les écolabels.
Un résumé des conclusions de l’étude est à lire sur : http://www.directgestion.com/sinformer/filactu/16151-developpement-durable--vers-une-saturation-du-marche-des-ecolabels--, les détails sur : http://www.imd.org/research/challenges/sustainability-ecolabels-effectiveness-ralf-seifert-joana-comas.cfm
Source : http://www.bio-marche.info, 17 août 12