D’après le Commissariat général au développement durable, les espaces artificialisés ont augmenté d’environ 3 % (+ 820 km²), entre 2000 et 2006, en France. En 2006, ils occupaient ainsi plus de 5 % du territoire métropolitain selon la base de données européenne Corine Land Cover. Ces espaces artificialisés englobent tant les zones urbanisées, industrielles ou commerciales et les réseaux de communication que les mines, décharges et chantiers ou les espaces verts urbains.