Les niveaux d’oxygène des lacs situés dans les zones de climat tempéré déclinent rapidement, plus vite que dans les océans. Le changement climatique est la principale cause de cette tendance depuis au moins quatre décennies, tendance qui menace la biodiversité et la potabilité des lacs d’eau douce. Ce sont les conclusions d’une étude internationale, publiée le 2 juin dans Nature, et pilotée par le Rensselaer Polytechnic Institute (Etats-Unis), à laquelle a participé INRAE.