Des chercheurs du CNRS, de l’Inra et de l’Institut de l’abeille ont publié, le 27 novembre, les résultats d’une étude qui prouve que, malgré le moratoire de l’Union européenne sur les pesticides néonicotinoïdes, des résidus persistent.
« Trois années sur cinq, jusqu’à 12 % des parcelles présentaient une contamination pouvant entraîner la mort de 50 % des abeilles et bourdons les visitant », conclut cette étude sur 291 parcelles de colza d’hiver entre 2014 et 2018.