Centre National de Ressources
en Agriculture Biologique

Peu de temps après le vote d’une loi, en France, interdisant les PFAS dans certains usages, c’est au tour du Président des États-Unis d’approuver l’application de seuils pour 6 PFAS dans l’eau potable. Ce pays est pleinement touché par la pollution aux polluants éternels. Alors que le scandale est connu depuis des décennies par l’US EPA, l’agence de protection de l’environnement américaine, il n’y avait, jusqu’à aujourd’hui, que très peu de mesures prises à l’échelle fédérale.

Suite à la présentation de la Stratégie Ecophyto 2030, Générations Futures regrette le changement d’indicateur, du NODU à l’indicateur de Risque Harmonisé 1 (HRI1). Le HRI1, calculé par la Commission européenne, permet de mesurer l’évolution de l’utilisation des substances actives en les pondérant par leurs mentions de danger.

Le 6 mai 2024, le Gouvernement a dévoilé la stratégie Écophyto 2030, fruit d’un vaste travail de concertation. Elle fixe des objectifs de réduction des risques et des usages de produits phytopharmaceutiques cohérents avec les engagements européens et internationaux de la France en matière de lutte contre le changement climatique et de préservation de la biodiversité, tout en donnant à tous les agriculteurs les moyens de cette transition, par le développement de méthodes alternatives et le renforcement de leur accompagnement dans le changement de pratiques.

Créée au laboratoire Dynamiques et écologie des paysages agriforestiers (Dynafor) du centre INRAE Occitanie-Toulouse, l’objectif de cette mallette pédagogique est de faire découvrir la diversité des insectes pollinisateurs, ainsi que leurs habitats et leurs rôles dans la préservation de la biodiversité.

Un groupe de travail pluridisciplinaire réunissant 14 organismes, coordonné par INRAE, a été constitué, en mai 2022, autour de la problématique des effets des champs électromagnétiques et courants parasites sur les élevages. Ses objectifs sont d’identifier des verrous scientifiques à lever, de proposer et de mettre en place des programmes de recherche-développement pour combler les manques de connaissances, de permettre d’objectiver précocement le diagnostic en cas de suspicion d’effets électriques et de proposer des solutions.