Malgré la grande quantité de données et d’études disponibles (supérieures à 6 000), des conclusions définitives ne peuvent généralement pas être faites sur les liens entre pesticides et santé, estime l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), après avoir réalisé une revue scientifique des études publiées depuis 2006. L’Efsa estime que ces études épidémiologiques souffrent de nombreuses limites et que l’hétérogénéité des données est telle qu’elle ne permet pas de tirer des conclusions fermes.